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Actualités
Pas le droit à l'erreur quand on développe un logiciel embarqué dans un avion. Un bug, et cela peut être l'incident. A éviter, surtout en plein vol ! Alors comment s'assurer a priori de la totale fiabilité des systèmes informatiques embarqués… sans faire exploser les coûts des vérifications , et même en les réduisant ?
L’aile ONERA M6, créée dans les années 70, est connue de tous les aérodynamiciens du monde. Elle sert de référence pour valider les méthodes numériques de simulation des écoulements . Ici, l’aile ONERA-M6 est utilisée pour des études sur la précision de nouvelles techniques de calcul (Projet Aghora).
Cela peut paraître paradoxal, mais le pilotage des hélicoptères est une activité qui ne cesse de se complexifier. Toujours plus de systèmes à gérer, pour des missions de plus en plus élaborées. Une meilleure compréhension des fonctions cérébrales humaines permet de mettre au point des technologies d'interaction qui améliorent l’efficacité du pilotage.
La Fédération française des sociétés scientifiques a remis le prix Edouard Branly à Myriam Raybaut, spécialiste en physique des lasers, pour le développement de dispositifs lasers appliqués à la détection de polluants.
La chute d'une météorite au-dessus d'une ville russe en février 2013 a créé la stupeur. Saura-t-on bientôt prévoir la collision de tels bolides avec la Terre? Et prendre les décisions d'évacuation pour éviter de nouvelles catastrophes?
Chaque avion est foudroyé une fois par an en moyenne. Au point d'impact, la température peut dépasser les 1000 °C. Autant dire qu'un avion doit être protégé contre la foudre. C'est bien sûr ce qui est fait pour qu'un avion soit autorisé à voler. De plus en plus électrique et constitué de matériaux composites, l'avion de demain nécessite d'imaginer de nouvelles méthodes de protection. Un sujet qui passionne Philippe Lalande, expert Foudre à l'Onera.